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JAMAIS TROP TARD...
18 juin 2019

J'AIME ET J'INSISTE !!

 BANANES36532

DSCN5976Plus vous donnez à la terre plus elle vous le rend !

france_wf_mw77760887_pPhotographies "PASSION" Jeanga, libres de droitspicto_photo vietnam_wf_mw

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Explications:

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Entretien des bananiers...

              Nous avons décidé et choisi le bon jour, c'est-à-dire en automne… Après avoir écorché la terre autour de la tige "tronc", bien gratté le sol sans altérer les racines de surface...

             A cet instant : Avons reconstitué une cuvette de surface légèrement plus petite que celle de base où nous plaçons sans attendre du fumier de vache, broyé et séché – Étalé régulièrement et recouvert de 5 à 6 cm de terre - Arrosage abondant immédiat. …Désherbages fréquents – …Sommes tranquilles jusqu'à la récolte !

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france_wf_mw77760887_pPhotographies "PASSION" Jeanga, libres de droitspicto_photo vietnam_wf_mw

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Certains nous demandent...

 Comment fait-on pour avoir des bananiers de ce genre et aussi beaux !

(Pieds de 80 cm de circonférence)

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             Donc : Bien délimiter à la pelle, (3,50 m. à 4 mètres de diamètre) la cuvette de plantation afin de conserver l’espace de chaque bananier car, quand nous passerons au choix des boutures (Rejets) à extraire, plus facile sera la tâche… Il faudra creuser profond afin de réussir ces dernières (parfois 1 mètre…)

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france_wf_mw77760887_pPhotographies "PASSION" Jeanga, libres de droitspicto_photo vietnam_wf_mw

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             Alors dès aujourd’hui… (J’insiste… Et répète !) Grattons assez sérieusement (voir photographies) à l’aide d’un râteau, mais attention aux jeunes racines – jamais de pelle dans cette opération – de la délicatesse et pas d’empressement.

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france_wf_mw77760887_pPhotographies "PASSION" Jeanga, libres de droitspicto_photo vietnam_wf_mw 

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              Les racines partiellement découvertes, plaçons la bouse de vache (Séchée, broyée) - Une valeur de 5 à 6 cm. d’épaisseur sur toute la surface de la cuvette réceptacle du bananier…

              Étalons puis recouvrons l’ensemble de la même épaisseur de terre (grattée) que nous remettrons en place sans oublier d’alléger la terre en circonférence de la cuvette, aération et limitation des racines trop gourmandes. Le petit caniveau en périphérie, garde l’eau de pluie ou d’arrosage…

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france_wf_mw77760887_pPhotographies "PASSION" Jeanga, libres de droitspicto_photo vietnam_wf_mw

(Certaines photos peuvent être agrandies - Main !)

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Un plus !

              TOUTES LES SEMAINES ARROSEZ-DONC VOS BANANIERS AVEC DU PURIN D’HERBES DE VOTRE JARDIN…

              Si vous trouvez des orties c’est le meilleur ou je vous conseille aussi de faire pousser de la grande Consoude… (http://www.intelligenceverte.org/purin-consoude.asp)

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77760887_pPhotographies "PASSION" Jeanga, libres de droitspicto_photo 

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Faites macérer dans un fût en plastique (100 litres avec couvercle « clipsé ») pendant 20 jours sous une pleine Lune, toutes les herbes de  votre jardin : tontes, désherbages etc.

              Vous pouvez également créer un bassin dans la terre et y enterrer tous vos végétaux précités, mais le temps est de 40 jours à l’air libre (Gaff ! Aux voisins à chaque fois que vous allez remuer votre composition, lors de l’épandage surtout… Ça pue, c’est ignoble, mais le résultat est foudroyant de réussite !)

REVENONS... A nos moutons... A nos bananiers je veux dire !

              Le bananier n'est pas un arbre mais une herbe géante qui peut atteindre jusqu'à 15 mètres de haut, c'est la plus grande herbe du monde.

              En s'enroulant les unes contre les autres les feuilles donnent naissance à un pseudo-tronc qui ressemble au tronc des arbres mais ne donne jamais de bois.

              On compte environ 1 000 variétés de bananiers qui poussent tous dans des régions chaudes et humides. Il existe une multitude de bananes différentes selon leur taille, leur forme, leur couleur et la plupart sont des bananes sans graines.

              Lorsque l'on récolte son régime de bananes le pied principal meurt.

              Mais avant la récolte, la tige souterraine appelée aussi bulbe a émis des rejets, c'est une reproduction par multiplication végétative. 

              Le bananier est planté ici, au Vietnam pendant la saison des pluies (début juin à fin novembre). Selon la méthode traditionnelle de base, le paysan prépare un trou (40 x 40 x 40 cm), sépare les rejets du pied principal et plante chaque rejet dans un trou.

              Les bananiers sont sensibles à certaines maladies (cercosporiose = champignon) et certains parasites (nématodes, charançons).

              Le bananier est une plante herbacée, malgré sa posture qui se rapproche de celle d’un arbre. Il fait partie du genre musa et est principalement une plante tropicale et subtropicale. Il existe principalement 2 types de bananier : fruitier et ornemental.

              Le bananier est une plante dont la base est formée d’un très gros bulbe, appelé rhizome, où naissent ses grandes feuilles. Le pseudo-tronc qui forme sa partie moyenne est en fait un rallongement de ses pétioles. Depuis l’intérieur de ces pétioles se développe ensuite un bourgeon floral, appelé régime, qui retombe sur un côté. Ce régime détient les fleurs femelles, qui vont devenir des bananes, à ses alentours et les fleurs mâles à son extrémité. Il existe plus de 50 espèces de bananiers recensés dont les bananes desserts, les bananes légumes ou encore les bananes à bière d’Afrique. 

Plantation et culture de bananier

              Bien alimenter et bien humidifier constituent les premiers soins à lui administrer pour bien faire pousser et pour protéger la grande herbe des parasites.

              Tout est ensuite question d’habitude et surtout de divertissement entre l’empotage, l’arrosage et l’enlèvement des feuilles mortes. Après, le jardinier aura tout le temps d’admirer son œuvre et son protégé.

              La tâche ne devient légèrement plus ardue que lorsque le gel de l’hiver annonce son arrivée. Durant cette période, les bananiers à l’extérieur doivent bénéficier de quelques soins supplémentaires de la part de son maître.

              Couverture, empaillage et aération, de quoi garder au chaud le bananier avant qu’il redéploye ses jolies feuilles une fois le grand froid passé.

              Le cycle de vie du bananier est assez court et il fait partie des plantes dites monoblastiques, qui fleurissent seulement une fois puis meurent.

              L’environnement idéal pour un bananier se compose d’une température de plus de 20°C, de beaucoup d’eau, d’une forte hygrométrie et surtout, d’un emplacement qui le protège des fortes souffles de vent. Le sol doit être riche et drainant, composé idéalement d’environ 30 % de terre de jardin, de 30 % d’humidificateur (sable, billes d’argile, écorces) et 40 % de tourbe et de fumier décomposé.

              Pour les engrais, le bananier a surtout besoin de phosphore lorsqu’il est encore une jeune pousse, puis d’azote durant sa croissance et enfin, de beaucoup de potassium durant sa floraison et sa fructification.

              Le bananier peut être planté à l’extérieur (surtout les bananiers ornementaux), sous véranda, sous serre ou en pot. Il faudrait seulement ne pas oublier que la plante peut atteindre les 6 mètres de hauteur et plus de 4 mètres de largeur.

              Le bananier se cultive idéalement du mois de mars au mois de septembre et le jeune plant s’obtient par une culture in vitro, un prélèvement de rejet, la méthode de reproduction naturelle des bananiers, ou par graine, obtenue par une méthode spécialisée.

Entretenir et prendre soin de son bananier

              L’humidité est l’un des facteurs primordiaux pour la bonne croissance d’un bananier, il faudrait particulièrement y veiller lorsque la plante se trouve dans un appartement.

              Encore jeune pousse, il faudrait veiller à l’arroser 3 à 4 fois par semaine.              

              L’arrosage peut plus tard, se faire seulement une fois par semaine. Pour les cultures en pot, il faudrait penser à placer des graviers ou des billes d’argile sous le pot afin d’avoir une forte hygrométrie, bon pour la plante et qui le protège contre les parasites.

              Il faudrait aussi penser à rempoter votre bananier tous les 2 ans, en le plaçant dans un pot plus grand, bien arrosé et fertilisé. Les agents nocifs et les parasites qui s’attaquent au bananier sont surtout les escargots, les acariens, les champignons et les vers nématodes qui détruisent ses racines.

http://www.biotop.fr/index.php/collectivites-a-espaces-verts/nos-produits/nematodes.html

              Le bananier peut aussi contracter la maladie de Panama, bien que ce soit un cas assez rare. Bien évidemment, il n’y a pas trop à s’en faire si la plante est bien alimentée et bien hydratée.

              Par ailleurs, il faut bien veiller à ne pas trop exposer le bananier aux vents dominants, sous peine de voir ses feuilles courbées ou découpées en lanières.

              Tant que possible, donc, il faudrait favoriser la plantation proche d’un mur ou d’un muret qui protège la plante.

              Pour finir, il ne faut pas laisser les feuilles mortes qui longent la tige de la plante pendant trop longtemps car elles apportent d’autres agents nocifs qui dérangent la plante et puis, elles ne sont pas belles à voir non plus.

Le bananier en hiver

              Quelques espèces de bananiers, surtout les bananiers ornementaux subtropicaux, sont rustiques et leur rhizome supporte très bien le froid.

              Toutefois, leurs feuilles se perdent à partir de 0°C. Il faut donc penser à protéger la partie supérieure de la plante afin d’éviter que celle-ci meure. Pour ce faire, il faut couper le tronc de la plante à environ 20 centimètres du sol, puis, protéger cette partie émergée restante avec un chapeau en matériau isolant. 

              Bien que n’étant pas indispensable, il est conseillé d’ajouter un paillage au-dessus, tout en veillant à bien aérer avec des trous sur le chapeau.

              En manque d’aération, le froid et l’humidité risquent de pourrir le tronc et tuer la plante.

              Une fois l’hiver passé, il suffit d’enlever sa protection et de reprendre son entretien habituel. Pour les bananiers tropicaux non rustiques toutefois, ils ne supportent pas le froid.

              Ainsi, il vaut mieux les cultiver en serre, en véranda ou dans un jardin d’hiver.

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